Cher Philippe,
Ferais-tu partie des trentenaires nostalgiques de la carte Interail? J'ai bien peur en effet qu'après l'Eurostar et le Thalys, il faille bientôt s'attendre au Talgo et à l'Artesia.
Qu'importe. Je te moque, mais au fond, je suis ravie : tout était réuni ce matin pour me faire passer une heure exquise, des vieilles gloires de la chanson aux voix chevrotantes des archives (Ah! la voix de Baudoin, à peine 21 ans, parlant comme Malraux sur ses vieux jours), en passant, bien sûr, par la plus classique des © ollinades :
Tell me about it, c'est ce que réclame cet hiver la jeune chanteuse britannique Joss Stone. Tell me about it, traduction en français : parle-moi de ça ; traduction en belge : je dirais même plus, de ça parle-moi.
Philippe Collin, F.I., 4 mars 2007
Un petit regret, néanmoins : sans doute pour la raison que, décidemment, on y voit mal à la radio, tu as préféré taire le nom d'un des plus grands peintres vivants, bruxellois de son état, et je m'empresse de rendre ici à Pierre Alechinsky ce qui lui appartient. Toutefois, en dévidant le fil du match entre l'oeil et l'oreille, tu aurais pu te dire que le porno à quinze balles de Poelvoorde allait perdre tout son charme à la radio. Alors pour une séance de rattrapage, c'est par là.
Voilà, à part ça, sois une fois de plus remercié d'avoir conduit mon dimanche sur de radieux rails.
A toi pour toujours,
Valentine
Qu'importe. Je te moque, mais au fond, je suis ravie : tout était réuni ce matin pour me faire passer une heure exquise, des vieilles gloires de la chanson aux voix chevrotantes des archives (Ah! la voix de Baudoin, à peine 21 ans, parlant comme Malraux sur ses vieux jours), en passant, bien sûr, par la plus classique des ©
Tell me about it, c'est ce que réclame cet hiver la jeune chanteuse britannique Joss Stone. Tell me about it, traduction en français : parle-moi de ça ; traduction en belge : je dirais même plus, de ça parle-moi.
Philippe Collin, F.I., 4 mars 2007
Un petit regret, néanmoins : sans doute pour la raison que, décidemment, on y voit mal à la radio, tu as préféré taire le nom d'un des plus grands peintres vivants, bruxellois de son état, et je m'empresse de rendre ici à Pierre Alechinsky ce qui lui appartient. Toutefois, en dévidant le fil du match entre l'oeil et l'oreille, tu aurais pu te dire que le porno à quinze balles de Poelvoorde allait perdre tout son charme à la radio. Alors pour une séance de rattrapage, c'est par là.
Voilà, à part ça, sois une fois de plus remercié d'avoir conduit mon dimanche sur de radieux rails.
A toi pour toujours,
Valentine
2 commentaires:
"tout, absolument tout ce qui me constitue tendra vers la réalisation de mon destin:
EPOUSER PHILIPPE COLLIN"
Savoir ou est son destin, le reconnaitre et s'ateller, quitte à y prendre une vie entiere pour le réaliser... Dieu que ce Philippe à de la chance !
Soit heureuse Valentine...
Merci Bert, j'ai bien l'intention de l'être, heureuse :)
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