23 avril 2007

Résistances

Ca y est, on sait.
Bon.
On a les héros qu'on peut - à moins qu'ils soient ceux qu'on mérite ?

Non. Personne ne mérite le petit énervé.

Aussi va-t-il falloir songer à résister, et gravement, même si, c'est vrai, le ton monocorde de Ségolène est tout sauf enthousiasmant.

NB: penser à relire "Poujade et les intellectuels", de Roland Barthes, dans Mythologies. Dès que je retrouve mon exemplaire, je le mets en ligne.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Chère" Valentine,

j'ai bien lu le mot que vous aviez laissé sur mon billet relatant une partie de cette journée que, semble-t-il, vous trouvez désormais fantastique (tout comme votre amie Valérie Bignon : dites, elle vous paye combien?). C'est de la propagande à l'état pur, "chère" Valentine, et je suis fâchée, très fâchée, peinée, même, par tant de mauvaise foi.
Je devrais trouver un travail, "un vrai", pour vous citer? Mais mademoiselle Valentine; soyez un peu cohérente, bon dieu! Ici, sur votre blogue, vous vous présentez comme une femme affable, du monde d'avant, une amoureuse, une épistolaire, mécontente de l'élection du nain priapique cocaïné. Mais il est manifeste que vous ne parvenez pas à dissimuler votre vraie nature: vous êtes l'une de ces écervelées de la France d'après, une Sixtine qui se lève tôt, une Laure Manaudou du plancher des vaches. Allez, Valentine, allez, faites-vous implanter votre puce sous-cutanée et n'en parlons plus.

Jenny