14 février 2008

Las, où est ce cœur vainqueur de toute adversité ?


Hélas ! Malgré les 3601 roses qui fleurirent mon message, les doctes de Libé ne voulurent pas cautionner mon amour pour toi, Philippe. Par excès de puritanisme ou de mollesse, sans doute. Peut-être furent-ils frappés de stupeur devant tant d'amour ? À moins que Bécasse Schneck, éminente membre du jury, n'ait frappé d'opprobre ces pages où elle avait été si souvent conspuée, par moi ou par d'autres.

Qu'importe.

Je trouverai bien d'autres moyens de te brûler aux flammes de ma passion. Quant au voyage, celui que tu nous as concocté est bien plus excitant que ceux que nous n'avons pas gagnés pour ma fête.

Merci en tout cas à tous ceux qui ont déposé ces douces roses, et sus aux membres du jury, ces débiles qui s'entraînaient sans doute pour la Panique au Mangin Palace de ce dimanche.

À toi pour toujours,


Valentine



Vue du Cimetière de Gênes, Italie.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Haro sur les baudets !

Anonyme a dit…

Ah, Libé, ce n'est plus ce que c'était, ajouterai-je perfidement (soupir).

Anonyme a dit…

absolument d'accord. j'ai lu TOUS les messages. tous nazes. et vous n'y étiez pas par dessus le marché. bien d'accord avec colimar, quand je pense qu'ils ont même mis en une le vieux chanteur au rire insupportable, tout ça parce qu'il est mort.
avec kalliope : haro sur les baudets. parfaitement.