19 décembre 2006

En sourdine


Cher Philippe,

Ce ne sont peut-être pas encore des larmes de sang que je verse sur nous, mais mon coeur est bien lourd de ne t'entendre point, et plus encore, de disparaître chaque jour un peu plus de la visibilité du monde...
En sourdine, en sourdine....


Tout de même moins excitant que la bonne tempête du même Verlaine - si tu ne me crois pas, va donc voir là :
Green

Moi aussi, cher Philippe, j'aimerais que ma fatigue, à tes pieds reposée, rêve des chers instants qui la délasseront.

A toi pour toujours,

Valentine

PS : ces larmes fantastiques, je les ai trouvées là :
larmes de pierre

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