03 décembre 2006

Writings, III

Cher Philippe,

Writings, III, parce que c'était le titre de la photo que je ne parviens pas à poster, trop lourde, paraît-il. Même jusque sur les blogs, le diktat de la minceur fait donc des ravages.
Des livres qu'on déchiquette, des enfants terribles, des feuilles qui volent, des bancs qui se vident, et des couleurs froides ; des postures hiératiques, l'un qui sait partir, et l'autre qui reste scotché à son banc ; des enfants qui n'en sont déjà plus, des livres qui n'en sont pas : voilà, en quelques mots, un résumé de l'ambiance de mon week-end.
Du genre de ceux qu'on préfère ne pas avoir à répéter trop souvent - le corps n'y résisterait pas, je crois.


A toi pour toujours,

Valentine

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